Devrons nous bientôt, ceux qui avons eu la chance de
recevoir un vernis de culture, nous réfugier derrière les oreillettes et les
écrans pour écouter un morceau de musique d’un de ces « abominables »
représentants de la classe dominante, tels Beethoven, Bach, Telemann, ou pour lire
Nietzsche, Shakespeare, Flaubert ?